Les sans ouate

Les sans ouate

samedi 3 décembre 2011

Le comble de...

Pour le boulanger, le comble,
c’est d’être la mie de tout l’monde.
Pour la poule, c’est d’avoir des dents.
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Pour Monsieur Net, c’est de laver son linge sale en famille.
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Pour le skieur, c’est de remonter la pente.
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Pour l’électricien, c’est d’avoir des ampoules.
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Pour une avocate, c’est de se taper un avocat.
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Pour un hockeyeur, c’est de parvenir à son but.
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Pour un pneu, c’est de se crever au travail.
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Pour un original, c’est d’avoir du panache.
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Pour un pauvre, c’est d’être champion au Monopoly.
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Pour un ordinateur, c’est de perdre la mémoire.
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Pour un wagon, c’est de faire du train.
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Pour un couturier, c’est d’être piqué au vif.
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Pour un pilote d’avion, c’est d’être pris à voler.
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Pour un téléphone cellulaire, c’est de perdre le fil de la conversation.
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Pour la clé, c’est d’être mis à la porte.
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Pour l’éléphant, c’est de se retrouver sans défense.
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Pour le jardinier, c’est de vendre sa salade.
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Pour un médecin, c’est de recevoir une ordonnance de la cour.
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Pour un comédien, c’est que sa blonde lui joue la comédie.
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Pour une guitare, c’est d’avoir des démangeaisons.
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Pour un ballon, c’est que son affaire connaisse plusieurs rebondissements.
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Pour un condamné à mort, c’est d’être au bout de sa corde.
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Pour une voiture électrique, c’est qu’on s’en fiche.
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Pour un soulier, c’est de partir du bon pied.
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Pour un piano, c’est que tout soit noir et blanc.
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Pour une pomme de terre, c’est de finir par s’effriter.
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Pour une chemise, c’est d’être attrapée par le collet.
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Pour un pont, c’est qu’on lui passe sur le dos.
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Pour une cigarette, c’est de s’étouffer.
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Pour un dentiste, c’est d’en arracher.
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Pour une vis, c’est de se faire serrer.
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Pour un astronaute, c’est de manquer d’espace.
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Pour une aspirine, c’est de recevoir un cachet après avoir avalé sa pilule.
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Pour le Père Noël, c’est d’avoir les rennes du pouvoir.
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Pour une fourchette, c’est d’avoir quelque chose à se mettre sous la dent.
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