Lorsque nos Canadiens perdent un match, c’est décevant. Afin de surmonter cette défaite crève-cœur, voici quelques expressions logiques ou loufoques qui pourraient vous remettre sur vos patins ou vous permettre, à tout le moins, de casser du sucre sur leur dos.
Les Canadiens doivent apprendre à jouer durant 60 minutes.
Une période de plus et on gagnait le match.
La Sainte-Flanelle passe un mauvais coton.
Il reste encore amplement de temps avant les séries éliminatoires.
Ils ne peuvent tout de même pas remporter tous les matchs.
Nos meilleurs joueurs patinaient sur la bottine.
Du hockey, ça ne se joue pas avec un bâton entre les jambes.
Le but gagnant de l’autre équipe était un but chanceux.
Le gardien devrait cesser de clignoter des yeux.
Certains joueurs auraient été plus efficaces sur le banc.
Les Canadiens ont bien joué, mais ils ont été malchanceux.
L’autre équipe avait un joueur supplémentaire : la chance.
Ils ont perdu par la peau des dents.
Les Canadiens doivent apprendre à compter de but en blanc.
Le travail des défenseurs, c’est d’arrêter les joueurs adverses, pas la rondelle.
Les Canadiens auraient dû jouer comme ils le font sur la route.
On dirait que les Canadiens au Centre Bell se fient sur les spectateurs pour compter des buts.
Voilà ce qui arrive lorsqu’on gagne de gros salaires.
Le problème n’est pas sur le banc des joueurs, mais derrière le banc.
Les Canadiens sous-estiment toujours les équipes plus faibles.
Tout ce qui manquait, c’était de la synchronisation.
Les Canadiens jouent mieux une fois acculés au mur.
Ils font toujours une passe de trop en arrivant dans la zone adverse.
On doit leur laisser le temps d’accorder leurs violons.
Ce qui nous manque, c’est un bon compteur de buts.
On voit bien que certains joueurs sont forcés de jouer avec une blessure.
Les joueurs doivent finir par comprendre que, pour gagner, il faut compter plus de buts que l’adversaire.
C’est une équipe en reconstruction et ça prend du temps.
Les Canadiens préfèrent revenir de l’arrière.
Il faudrait ajouter des joueurs canadiens-français pour stimuler le sentiment d’appartenance.
Le gardien s’imaginait que le gardien substitut se tenait derrière lui.
À Montréal, la pression est plus forte qu’ailleurs sur les joueurs.
C’était écrit dans le ciel qu’on perdrait ce match-là.
Les Canadiens n’ont pas su tirer leur épingle du jeu.
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